Friday, July 30, 2021

La Belle Jenny Théophile Gautier pdf completo

La Belle Jenny

de Théophile Gautier
La Belle Jenny


La Belle Jenny Théophile Gautier pdf completo - Le jour même de leur mariage, deux couples anglais sont séparés et entraînés vers des aventures virevoltantes. Un des protagonistes part à la recherche de son origine en Inde, tandis que deux autres sont embarqués sur le navire La Belle-Jenny pour une mission mystérieuse dans l'Océan Atlantique. Source : wikipedia.

Détails de La Belle Jenny

Titre du livre : La Belle Jenny

Auteur : Théophile Gautier

ISBN-10 : B0014MSZP0

Date de sortie : 30/11/-1

Catégorie : Anglais

Nom de fichier : la-belle-jenny.pdf

Taille du fichier : 26.04 (La vitesse du serveur actuel est 21.97 Mbps


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Vous trouverez ci-dessous quelques critiques les plus utiles sur La Belle Jenny. Vous pouvez considérer cela avant de décider d'acheter / lire ce livre.
Poussé par une fraîche brise, le navire avançait si rapidement qu’au bout de quelques minutes il n’y avait plus besoin de la lunette pour en discerner les détails. — Ah ça, ils sont donc enragés, ou le capitaine a bu un muids de punch, s’écrièrent à la fois Jack et Mackgill, en voyant les bonnettes basses s’allonger avec les boute-hors à côté des voiles, et tremper leurs extrémités dans la vague comme des ailes de goëland. — S’ils continuent, dit Mackgill, ils vont sortir de l’eau et voler en l’air, ou chavirer la quille en dessous. Oh ! le brave brick ! il tient bon ; pas un mât ne fléchit, pas un cordage ne craque, poursuivit-il avec admiration. Jamais contrebandier ayant à ses trousses un bâtiment de l’État, jamais navire marchand chargé d’or et de cochenille, pourchassé par un corsaire, ne décampa d’un train pareil. On dirait qu’il y va de leur vie ; et pourtant je ne vois pas d’autre voile à l’horizon. — Le capitaine Peppercul connaît son affaire et s’il donne de l’éperon à son navire, c’est qu’il est pressé ou payé grassement ; il ne risquerait pas pour rien de se coiffer avec ses toiles et de boire un coup à la grande tasse salée de l’Océan. Il n’aime pas assez l’eau pour cela, dit sentencieusement Jack, et ce n’est pas sans raison qu’on nous a mis ici et qu’on m’a fait acheter une berline à ce damné Geordie. — Dieu me pardonne, Jack, s’écrie Mackgill ; voilà qu’on met les pommes de girouette à tous les mâts. — Il n’y a plus maintenant sur la Belle Jenny de quoi se faire un mouchoir de poche. Toute la toile est employée. — Quoique, Dieu merci ! je ne craigne pas l’eau, à l’extérieur du moins, je préfère en ce moment avoir mis mes pieds sur ce roc que sur le pont du capitaine Peppercul. À ce surcroît de voiles, les mats se courbèrent comme des arcs ; le taille-mer de la proue disparut presqu’entièrement sous la pression du vent, et une longue fusée d’eau écumeuse jaillit sur le pont comme ces rubans de bois qui s’élancent par le trou d’un rabot vigoureusement poussé. — Toute la mâture va tomber sur le bastingage, dit Mackgill intéressé au plus haut point. Rien ne bougeait, et le navire, emporté comme un tourbillon, arriva tout près de la falaise ; et, déshabillé en un clin-d’œil de la toilette qui le couvrait, il s’arrêta, montrant à nu son gréement fin et délié. Un canot se détacha des flancs de la Belle Jenny, et en quelques coups d’aviron amena à terre un homme qui paraissait en proie à la plus vive impatience. Une demi-heure de retard, murmura-t-il en prenant terre et en regardant sa montre. Où est la voiture ? Jack, qui était descendu ainsi que Mackgill, la fit avancer. Quand le nouveau venu fut installé dans la berline, John renouvela sa question — Maître, où allons-nous ? — À Londres, et au vol. Voilà trois guinées pour toi. La voiture partit comme la foudre ; les roues flamboyaient comme celles du char d'Elie. Resté seul avec Mackgill, Jack formula cet apophthegme ingénieux : — Voilà un particulier qui aime aller vite. + Lire la suite

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